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Le film
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L'HISTOIRE

La guerre est aux portes de l’Europe, les conflits se multiplient au Moyen-Orient et ailleurs sur la Planète, la crise climatique fait rage, la sixième extinction de la biodiversité menace toute vie sur Terre et nos dirigeants politiques sont impuissants. Jean-Marc Governatori, un des pionniers de l’écologie centriste en Europe, propose des solutions inédites, des solutions à taille humaine, des solutions pour le bien commun. Pour lui l’écologie est un tout et le seul espoir au cœur du chaos.

Les faits

LE SYNOPSIS

Samedi 2 décembre 2023 à Paris, le parti Les Ecologistes (EELV) lançait la campagne pour les élections européennes de 2024. Entre deux discours les Verts ont eu droit à une séance de twerk, de la Booty Therapy, invitant les élus écologistes à « laisser leurs fessiers s’envoler » ou à prendre la « position du poulet ». Un lancement de campagne à l’image d’un mouvement qui a perdu ses repères et ses partisans en essayant d’imposer par la force une écologie punitive.

 

Le fait que le principal mouvement politique écologiste ait été incapable en 40 ans de régler les grands défis sociétaux et environnementaux laisse perplexe.  Si eux n’ont pas de solutions, qui a une solution ?

 

A la tête de son parti « l’Ecologie au Centre », Jean-Marc Governatori semble enfoncer des portes ouvertes : « Pourquoi EELV et la Macronie n’ont pas mis en place une maison des semences ? Nous sommes à la merci du bon vouloir de Mosanto-Bayer ou d’une catastrophe climatique. » sa proposition est d’une évidence confondante, partout nos leaders politiques actuellement aux affaires s’en fiche royalement. « Pourquoi ne pas potagériser la France ? Pourquoi aller vers des véhicules électriques qui sont des abominations écologistes ? Pourquoi ne pas créer un statut de réfugié climatique ? », l’homme politique pose les bonnes questions et apporte des réponses pour le moins surprenantes.

 

Nous le suivons de Varsovie à la frontière ukrainienne en passant par le camp d’Auschwitz, du Parlement européen aux soirées selects de chefs d’entreprises parisiens, de l’Afrique à la condition animale en passant par l’éducation à la santé, entre 2022 et 2024.          

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The mission

POURQUOI CE FILM ? 

Avril 2022 alors que la Russie vient de lancer son « opération spéciale » vers l’Ukraine, Jean-Marc Governatori me propose de venir filmer les camps de réfugiés ukrainiens en Pologne.  Lui a pris l’initiative de se rendre à Varsovie pour rencontrer ses homologues polonais et découvrir l’ampleur et l’organisation des camps de réfugiés ukrainiens. Il se trouve confronté au chaos de la guerre en Europe et décide de faire 10 heures de route pour aller aider des réfugiés. Il ne pourra en transporter que 4, soit, mais ce sera toujours 4.

 

Le personnage m’intrigue. A la fois baroque et les pieds bien sur terre, très loin dans une vision d’un monde idéal et irrémédiablement ancré dans son époque, soutenu par la presse locale mais totalement ignoré par les médias mainstream, ayant acquis une fortune professionnelle importante (deux fois meilleur entrepreneur de France) et traversant l’Europe en train avec un cabas et un vieux téléphone totalement obsolète qu’il ne lâche jamais.

 

Jean-Marc Governatori ne se déplace qu’en train car il croit à la valeur de l’exemple et pense que l’avion est une catastrophe écologique. Il invite donc le spectateur à le suivre dans son périple de gare en gare, de ville en ville, de mission en mission, au service du bien commun.

 

Un road-movie qui dresse le contour de la personnalité Jean-Marc Governatori, mais qui ne donne pas toutes les clefs, voilà ce que j’aimerai filmer. Mon objectif n’était pas de dérouler un quelconque programme électoraliste, ni de faire un film institutionnel mais de découvrir la philosophie de cet homme hors du commun, qui pourrait apporter des solutions politiques inédites. Mon intention de film était de rester à la lisière entre le portrait politique et le biopic.

 

Je n’avais qu’une condition préalable pour m’engager dans un tel projet, c’était de ne subir aucune tentative de contrôler mes images et ma ligne éditoriale. Je me doutais que ce serait difficile pour une personnalité publique de me laisser pénétrer dans son intimité, sans maîtrise totale du résultat final. Pourtant il a pris cet engagement et l’a respecté, même quand l’histoire n’allait pas forcément dans son sens. Le film ne pourrait pas être plus honnête.

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